LEVE434
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Dans la petite ville de Tobiyama, l'inspecteur en chef de la police reste perplexe : pourquoi en moins d'une année, sur l'un des ponts de la ville, ont eu lieu successivement dix-sept accidents de voitures divers ?
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De nos jours, dans la petite ville de Tobiyama, non loin de Tokyo, l'inspecteur en chef de la police locale reste perplexe : pourquoi, dans sa ville et en moins d'une année, toujours au même endroit, sur l'un des ponts de la ville nommé "le pont de jour", ont eu lieu successivement dix-sept accidents de voitures divers ? Rien n'y fera, ni une enquête des services régionaux de la voirie, ni la vérification des statistiques des accidents : aucune explication plausible ne vient étayer son enquête. Rien, jusqu'à ce que l'inspecteur Koda se penche par hasard sur le passé de ce pont. Son enquête aboutira à une conclusion peu commune, à condition, pour lui et pour le lecteur, de saisir à bras-le-corps ce qui se passa lors de la construction de cet édifice, en 1625, soit plus de trois cent cinquante années en arrière, à l'époque qu'on nomme de mémoire à Tobiyama "l'époque des sacres blancs" ou encore "du bouddha barbu" ! Le rythme de cette histoire peu banale, ce monde japonais d'aujourd'hui et d'autrefois nous accrochent, nous entraînent avec un brio indubitable aux limites de la vie, là où les acteurs de ce roman étonnant s'activent et s'affrontent entre un statut d'homme commun et l'apothéose des héros…
Olivier Gaurin, né en 1959 à Paris, commence l’escrime à l’âge de cinq ans et l’aïkido à quinze ans. Un des plus jeunes 3e dan français de l’époque, il a vingt-quatre ans. Après avoir terminé ses études de philosophie, il décide de partir au Japon pour trois mois, il y restera onze ans, se mariera avec une Japonaise et finalement avec son pays d’adoption, y passant l’ultime examen technique de 4e dan. Parlant japonais, pratiquant journalier de l’Aïkikaï de Tokyo, élève de Kisshômaru Ueshiba et des maîtres reconnus du dojo central, attentif à chercher toujours plus loin le sens de l’art qu’il pratique, il y poursuit sa recherche avec assiduité et décide d’écrire pour transmettre son expérience. Après plusieurs allers-retours entre la France et le Japon, il s’installe dans le sud de Tokyo où il vit aujourd’hui.